Convention collective nationale des assistants maternels du particulier employeur du 1er juillet 2004. Etendue par arrêté du 17 décembre 2004 JORF 28 décembre 2004.
- Texte de base : Convention collective nationale des assistants maternels du particulier employeur du 1er juillet 2004. Etendue par arrêté du 17 décembre 2004 JORF 28 décembre 2004. (Article non numéroté à article 19)
- Préambule
- Dispositions générales (Article 1er)
- Obligations administratives générales (Article 2)
- Classification (Article 3)
- Contrat de travail (Article 4)
- Période d'essai (Article 5)
- Durée de l'accueil (Article 6)
- Rémunération (Article 7)
- Indemnités d'entretien et frais de repas (Article 8)
- Indemnités diverses (Article 9)
- Repos hebdomadaire (Article 10)
- Jours fériés (Article 11)
- Congés annuels (Article 12)
- Autres congés (Article 13)
- Absences (Article 14)
- Surveillance médicale (Article 15)
- Maternité. - Adoption. - Congé parental. - Congé de paternité (Article 16)
- Couverture maladie et accident (Article 17)
- Rupture du contrat (Article 18)
- Formation professionnelle (Article 19)
Article 11
En vigueur étendu
Création Convention collective nationale 2004-07-01 en vigueur à compter du 1er jour du trimestre suivant l'extension étendue par arr^eté du 17 décembre 2004 JORF 28 décembre 2004
1er Mai
Seul le 1er Mai est un jour férié chômé et payé, s'il tombe un jour habituel d'accueil de l'enfant. Le chômage du 1er Mai ne peut être la cause d'une réduction de la rémunération.
Le travail effectué le 1er Mai ouvre droit à une rémunération majorée de 100 %.
Jours fériés ordinaires
Les jours fériés ordinaires ne sont pas obligatoirement chômés et payés.
Décidé par l'employeur, le chômage des jours fériés ordinaires tombant un jour habituellement travaillé ne pourra être la cause d'une diminution de la rémunération si le salarié remplit les conditions suivantes, avec le même employeur :
- avoir 3 mois d'ancienneté ;
- avoir habituellement travaillé le jour d'accueil qui précède et le jour d'accueil suivant le jour férié ;
- s'il travaille 40 heures ou plus par semaine, avoir accompli 200 heures de travail au moins, au cours des 2 mois qui précèdent le jour férié ;
- s'il travaille moins de 40 heures par semaine, avoir accompli un nombre d'heures réduit proportionnellement par rapport à un horaire hebdomadaire de 40 heures.
Les jours fériés travaillés sont prévus au contrat.
Lorsque l'accueil est effectué un jour férié prévu au contrat, il est rémunéré sans majoration. L'accueil un jour férié non prévu au contrat peut être refusé par le salarié.
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